Un atelier de formation des acteurs de la société civile et des professionnels de médias sur la convention des Nations Unies contre la corruption s’est tenu le vendredi 27 mars à Lomé. Organisée par l’Agence Nationale des Consommateurs et de l’Environnement (ANCE-TOGO) en collaboration avec le système des Nations Unies et l’Union Européenne (UE), cette rencontre permettait de renforcer la capacité des acteurs sur les domaines principaux de la convention des Nations Unies contre la Corruption (CNUCC). Il s’est agi de les sensibiliser sur les diverses notions de cette convention signée par le Togo, le 10 décembre 2003 et mise en vigueur en 2005 en vue de faire des plaidoyers pour lutter efficacement contre la corruption dans le pays.
Les participants ont été outillés sur les dispositions pertinentes des chapitres 2, 3, 4 et 5 de la convention ; la CNUCC et le secteur privé ; les textes législatifs dont le code de procédure pénal et le code pénal, la loi portant statut général des fonctionnaires et la loi relative à la lutte contre le blanchiment de capitaux.
L’initiative permet de relever les défis dans les domaines des finances publiques et de la justice à travers les actions des autorités en appui avec les partenaires. Les résultats de l’Office Togolais des Recettes (OTR) dans le cadre de la gestion et la transparence de la gestion des finances publiques commandaient la tenue de cette rencontre.
La corruption est un défi mondial qui mine les sociétés qu’il faut à tout prix combattre car elle ruine l’économie et le social. On dit que le Togo a réalisé quelques progrès mais qu’il reste encore des défis à relever.
Le Temps/Atop
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