
Les protagonistes de la crise socio-politique en Centrafrique ont signé mercredi soir à Brazzaville un accord de cessez-le-feu, le premier après huit mois de violences meurtrières. La signature de cet accord, (a minima par rapport aux objectifs assignés à la rencontre de Brazzaville), est intervenue comme une grande surprise.
La médiation congolaise a réussi à persuader les parties centrafricaines à sortir les négociations de l’impasse dans laquelle elles s’étaient enlisées après les exigences posées par l’ex-rébellion Séléka. La cessation des violences doit intervenir «dès la signature de l’accord» et «prendre effet sur l’ensemble du territoire de la République centrafricaine», selon les termes du compromis.
L’accord a été signé par une quarantaine de représentants centrafricains et de facilitateurs étrangers.
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