Les conditions d’accès aux financements de l’IDA, souvent mal maîtrisées, amènent à des malentendus brouillant les partenariats. Les ministres à l’école.
Une délégation du groupe de la Banque Mondiale en mission au Togo a rencontré le 6 juin, les membres du gouvernement pour échanger sur les conditions d’accès aux financements de l’Association internationale de développement (IDA).
La séance avait pour intérêt de discuter des possibilités pour le Togo d’accéder à des niveaux de financement plus élevés auprès de cette association instituée par la Banque Mondiale.
Une opportunité est offerte au Togo de pouvoir postuler au 18ème round (IDA 18) qui couvre la période du 1er juillet 2017 au 30 juin 2020 avec la particularité cette fois-ci qui repose sur l’augmentation des crédits pour les catastrophes naturelles et l’accroissement de l’investissement dans le secteur privé.
Les priorités et préoccupations, comment mobiliser les capitaux et la meilleure gestion des ressources de l’IDA étaient des préoccupations à l’ordre du jour. Au Togo la Banque Mondiale apporte déjà des soutiens par rapport aux catastrophes naturelles, a travers le financement du Projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT).
L’IDA est fondée en 1960 et accorde des dons et des crédits sans intérêt aux pays les plus pauvres afin de les aider à mettre en œuvre des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, contribuent à la réduction de la pauvreté et améliorent les conditions de vie des pauvres. L’IDA est l’un des principaux bailleurs d’aide aux 77 pays les plus déshérités au monde dont 39 se trouvent en Afrique.
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