La sous-représentation des femmes dans les instances dirigeantes de médias est « une incongruité »

Les 44èmes assises de la presse francophone ont pris fin à Lomé avec l’engagement de l’Union internationale de la Presse Francophone (UPF) de renforcer le pouvoir médiatique au féminin.

Les assises ont permis de débattre de la place des femmes dans la hiérarchie professionnelle et de l’influence éditoriale de celles-ci dans les médias. L’UPF s’engage, par ces assises aussi à corriger la sous-représentation des femmes dans ses instances dirigeantes. Pour le président international de l’UPF, Madiambal Diagne, son organisation a choisi de discuter de la question de «la place des femmes dans les médias» parce qu’il y a conscience de la sous-représentation des femmes dans les instances dirigeantes dans les médias. Il appelle tout le monde à travailler pour corriger « ce qui apparaît désormais comme une incongruité ».

S’agissant des recommandations issues de ces 44èmes assises, le président estime qu’il y a lieu de corriger cette incongruité : «Nos bonnes résolutions de modernisation et de démocratisation n’auraient pas de sens aussi longtemps que le tare de la sous-représentation des femmes dans nos instances n’est pas corrigée».

A propos Emilie ORONG 960 Articles
Emilie Orong est une passionnée de l'écriture. Elle a rejoint L'Equipe Le Temps en 2015. Couvre l'actualité nationale en tous genre et a un regard pointu sur l'actualité africaine.

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