Les animateurs et superviseurs des ONG du consortium venus du Togo, du Ghana et du Burkina Faso ont échangé sur les stratégies de lutte contre les mutilations génitales féminines, pratiques nuisibles à la santé de la fille et de la femme, les 23 et 24 janvier à Cinkassé.
Cette rencontre est un volet du projet transfrontalier de lutte contre le phénomène. Elle a été une occasion de restituer les résultats de l’évaluation à mi-parcours du consortium puis de proposer des solutions d’amélioration de ses activités. Il était aussi question pour les organisateurs de revoir les outils de gestion et les différents canevas du rapport et d’améliorer la synergie transfrontalière pour sécuriser la zone en matière de lutte contre ces pratiques. Tous ont été exhortés à redoubler d’efforts et à travailler en synergie pour une lutte efficace contre les mutilations génitales féminines dans les trois pays frontaliers.
LE TEMPS/ATOP
En savoir plus sur Le Temps
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Laisser un commentaire