Le Centre d’Observation et de Promotion de l’Etat de Droit, COPED appelle à une meilleure participation des jeunes pour renforcer les acquis démocratiques.
Le Centre d’Observation et de Promotion de l’Etat de Droit (COPED) et la plateforme Partenariat pour le Développement et la Gouvernance (PDG) ont entretenu du 03 au 11 août à Kara, Sokodé et à Lomé, des jeunes et femmes au cours d’un atelier de renforcement des capacités sur les processus électoraux et la stabilité des institutions dans une situation de crise.
Les entretiens devront contribuer à l’appropriation des textes et lois par les jeunes et les femmes en vue de renforcer la participation citoyenne dans les communautés pour faire de ces cibles des acteurs prioritaires de développement dans le cadre du processus des réformes politiques.
Pour le COPED c’est de faire connaître à ces jeunes et femmes, le fonctionnement des institutions de la République et leur rôle dans les processus électoraux. Ils ont abordé avec les cibles les questions de l’instabilité institutionnelle et la sécurité humaine en Afrique de l’Ouest, les enjeux et les valeurs des processus électoraux dans une situation de crise. Tout sur les grandes lignes de la Constitution et les normes et règles des processus électoraux Ceci participe de l’enracinement de la démocratie et de l’Etat de droit.
Pour le président du COPED, Ouro-Bossi Tchacondoh, c’est une satisfaction pour son organisation d’avoir contribué au renforcement de la culture citoyenne, socle de la démocratie surtout en ces moments où l’actualité togolaise montre à suffisance la non-maîtrise des textes et lois de la République. Pour lui, un citoyen à conscience civique et politique faibles constitue un danger pour toute démocratie et le processus de développement.
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