Lomé accueille jusqu’au 28 novembre les 44ème assises de la presse francophone autour de «la place des femmes dans les médias francophones», l’occasion d’explorer les voies et moyens devant permettre d’encourager et de promouvoir les femmes dans les médias. Pour l’Union internationale de la Presse Francophone (UPF), organisatrice de ces assises, c’est un cadre de réflexion et d’échange d’expériences en vue d’identifier les problèmes communs à l’exercice du métier de journaliste dans l’espace francophone. Trois cent représentants d’organe de presse, membres de l’UPF venant de trente et neuf pays francophones sont prévus pour y prendre part.
Au plaidoyer du ministre de la Communication du Togo, Guy Lorenzo pour une plus grande inclusion des femmes dans les médias, le Premier ministre s’est félicité de la tenue de ces assises au Togo et a saisi l’occasion pour rassurer les journalistes «qu’il n’y a et n’y aura pas d’épée de Damoclès qui va planer sur leurs têtes », allusion au contesté article 497 du code pénal adopté dernièrement par les parlementaires du Togo. Il existe au Togo depuis 2004 un code de la presse qui dépénalise les délits de presse.
L’UPF regroupe plus de 3000 journalistes, responsables et éditeurs de la presse écrite et audiovisuelle répartis dans 110 pays au monde. Le Togo avait déjà accueilli ces assises en 1980 et 2005.
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