Jean-Baptiste Placca range le bazooka. Placca, 18 ans durant, sur Rfi, chroniqua sur nos tracas qu’il croqua cas par cas. Cas par cas, quel que soit le cas, notre Placca mettait chaque cas à plat, sans être indélicat.
Placca, le cas échéant, expliqua, disséqua, diagnostiqua, pronostiqua, polémiqua… Placca, à chaque tracas, trouvait l’eurêka pour Aka et pour Issiaka. Veronica et Rebecca, grâce à Placca, au milieu des fracas, criaient : « eurêka » !Placca, tel un bon judoka ou karatéka, pratiqua tous les katas et jamais ne craqua. Placca, en tout cas, jamais n’abdiqua. Placca, de son bazooka, s’attaqua à mille cas. Délicat esprit, style délicat, il nous désintoxiqua, nous éduqua.
Placca se démarqua et nous marqua par ce côté délicat. Sans Placca, nos tracas resteraient délicats. Placca parti, le syndicat des indélicats reprendra ses waka-wakas et leurs fracas.
Placca est un cas dont on fera grand cas. Cas rare, notre Placca restera même un unique cas. Cas sur cas n’a point de lieu en aucun cas.
Fraternité Matin
En savoir plus sur Le Temps
Subscribe to get the latest posts sent to your email.


Laisser un commentaire