Dans une interview au «New York Times», l’ex-chanteuse affiche ses ambitions de femme d’affaires fashionista.
Victoria Beckham se voit en Napoléon de la mode, et veut «absolument un empire», comme elle l’affirme dans une interview donnée au New York Times. Dans l’article, l’ex-Spice Girl se raconte comme une travailleuse acharnée, taillée pour le rêve américain: «Je suis vraiment centré sur ma carrière et je pense que ma personnalité convient bien aux Etats-Unis, je suis une mère qui travaille», et confie ses rêves de grandeur, apparemment presque trop grand pour elle: «Il y a tellement de choses que je veux faire […] Je veux que ça devienne de plus en plus grand».
«Posh» revient également les origines de sa marque dVb, née au départ uniquement pour répondre à ses besoins de fashionista exigeante: «Je voulais simplement créer des beaux vêtements, des vêtements de bonne qualité, que je voulais porter. Et puis j’ai voulu créer des sacs à main parce que je ne réussissais pas à trouver le sac à main que je voulais porter. Puis je n’ai pas réussi à trouver les lunettes de soleil que je voulais, j’ai donc décidé d’en fabriquer». Tout simplement.
Mais aujourd’hui après avoir glissé un pied dans le monde de la mode, Victoria Beckham en veut plus, beaucoup plus: «Je veux atteindre le plus de femmes possible dans le monde, je veux avoir plus de catégories de produits. J’en ai actuellement cinq. Mais j’ adorerais un jour faire des chaussures, faire des parfums, du maquillage, des sous-vêtements», liste-t-elle. <
Après cet étalage d’ambition, Victoria Beckham explique, enfin, pourquoi elle ne sourit jamais sur les photos: «Quand vous êtes dans la situation de vous faire paparazzer juste en descendant la rue, vous aurez l’air stupide si vous souriez tout le temps.» Mais, assure-t-elle, «je souris sur les photos de famille». Ouf.
Liberation.fr
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